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Pelo Vincent 


Age : 27 ans

Taille : 1.87 m

Poids : 130 kg

Nationalité : Français

Club : La Rochelle

Ta première licence ... 

Ton arrivee en  metropole

l'Adaptation au pôle france

L'influence polynesienne 

Vincent Pelo

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Bouton ouverture question 

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<< Ce n'est pas en club mais au lycée que j'ai débuté, à quinze ans. Petit, j'aimais et pratiquais de nombreux sports, comme la rame polynésienne et le volley. Mais j'avais un cousin qui évoluait à XIII, et c'est finalement vers le rugby que je me suis ensuite tourné, en commençant dans un petit championnat UNSS, sur l'île. Parti au pôle Espoirs de Hyères en métropole quelques mois plus tard, j'ai ensuite été licencié à Toulon en cadets. >>

<< C'est mon professeur d'EPS de l'époque, par ailleurs ancien rugbyman international, qui m'a proposé d'aller jouer en métropole. Même si je n'avais que six mois de rugby derrière moi, il avait confiance en moi et  me disait que j'avais une bonne vision du jeu, que je pouvais faire quelque chose.  Ça  me tentait. Et mes parents ont aussi accepté. . cela  n'a pas été forcément facile, mais l'envie de partir était plus forte. Et c'est comme ça, dans la foulée, que je me retrouvé à Hyères à seize ans >>

<< C'était un peu dur, parce que le niveau était quand même plus haut. Même si ça n'a duré qu'un an, j'ai beaucoup travaillé et c'était très enrichissant. Pour moi, le championnat était une nouveauté, comme les entraînements quasiment quotidiens - alors qu'à Wallis, j'avais à peine deux séances par semaine. Au niveau physique aussi, c'était un peu compliqué. Il a fallu s'adapter. Mais j'en garde encore des amis et c'était une année très intéressante >>

<< Honnêtement, je m'entends très bien avec tout le monde. Je n'ai eu aucune difficulté d'intégration ici. J'ai vraiment de bons amis et je les garderai longtemps je pense. Alors forcément, j'ai envie, comme tout le monde, de partager ma culture, en musique ou en dansant par exemple. Tout le monde aime s'amuser. Et les Îliens, ça fait du bien de parler avec eux, de raconter des anecdotes de nos coins plutôt similaires. Ça rappelle le pays. Mais je discute tout autant avec les Français vis-à-vis de mon parcours >>